Rapport de stage, et vogue la galère
Rendu du rapport de stage J-9... En fait J-7 si on veut le faire parvenir à temps au professeur qui lit puis corrige le chef d'oeuvre. Suis en joyeuse panique. Hier j'ai failli effacé les 14 premières pages juste parce que je n'arrivais plus à écrire (comment ça c'est paradoxal?). Soutenue par nombre de mes amis et collègues stagiaires ayant subi cet exercice universitaire, j'avance, et chaque mot écrit résonne comme une victoire (ok, petite la victoire). Et après 6 ans d'université et déjà 4 rapports de stage à mon actif je peux tirer une conclusion intéressante. Il n'existe aucune source de motivation pour écrire un rapport de stage. Il n'y a rien de plus rébarbatif, l'objectif est de raconter platement ce qu'on fait tous les jours au bureau... Mais il existe une chose qui peut faire qu'on se fatigue sur son pc le soir : la pression... à 9 (euh 7) jours de la deadline.